Cinq raisons pour se lancer dans la distribution des courroies Optibelt au Cameroun
Cinq raisons pour se lancer dans la distribution des courroies Optibelt au Cameroun S’il est vrai qu’une seule idée suffit pour faire une entreprise florissante,
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Bien gérer ses stocks permet à l’entreprise d’augmenter son chiffre d’affaires. Une politique de gestion des stocks efficace et optimisée garantit aux entreprises de réduire leurs coûts. Cela passe par l’évitement de deux écueils : stocker trop ou trop peu, car ces deux excès ont des conséquences néfastes sur le résultat d’exploitation.
C’est indéniable, le surstockage coûte cher. Un volume mal contrôlé engendre des coûts de stockage fixes (bâtiments, engins lourds, étagères) et variables (salaires, frais d’entretien) qui pèsent lourd dans les comptes d’exploitation. De plus, le surstockage immobilise inutilement des capitaux. Le besoin en fonds de roulement (BFR) se compose de deux éléments :
Diminuer son stock permet de faire mécaniquement augmenter sa trésorerie, ou bien de faire baisser le BFR.
Autre écueil d’une politique de stock non optimisée, la rupture de stock peut mener une PME dans le mur. En plus de faire perdre des ventes, une rupture de stock a un effet négatif sur le taux de service et peut détourner des acheteurs fidèles de l’entreprise, qui vont vers la concurrence.
De plus, une rupture de stock peut désorganiser un système de production intégré à une chaîne logistique. Une politique de stock optimisée doit donc réussir à éviter le surstockage sans tomber dans la rupture de stock.
Juste à temps, Kanban, à point de commande… Chaque modèle de gestion de stock et de réapprovisionnement a ses avantages et ses inconvénients. Dans tous les cas, leur application peut faire gagner de l’argent aux entreprises.
Une gestion des stocks optimisée commence par une visibilité sans faille sur les réserves. Pour cela, il importe de connaître quelques indicateurs clés : Taux de rotation, temps d’écoulement….
Des stocks dormants sont souvent entreposés à perte. Pour régler le problème, charge à l’entreprise d’identifier les stocks qui ne tournent plus pour réduire les coûts de stockage.
Optimiser ses stocks, c’est bien, sécuriser sa chaîne d’approvisionnement, c’est mieux. La supply chain est soumise à de nombreux aléas (internes, dûs aux fournisseurs, financiers…) qui sont à prendre en compte au moment de rationaliser le système de stockage.
Une politique de stock optimale passe aussi par des processus rationalisés. Transmission de l’information, souplesse de l’approvisionnement, réduction des références et des magasins, mais aussi choix du logiciel de gestion. Plusieurs pistes d’amélioration sont envisageables pour les entreprises qui souhaitent réinventer leur politique de stockage.
Bien optimiser ses stocks commence par choisir un modèle de gestion optimal. Si le but est souvent le même (réduire les stocks au minimum pour diminuer les coûts), toutes les méthodes de gestion ont des caractéristiques qui se prêtent plus ou moins bien à chaque activité.
Inventée par Toyota dans les années 60, la méthode de gestion des stocks à flux tendus (ou juste à temps) vise à réduire ces derniers au strict minimum. Pour cela, une idée simple : attendre la commande du client pour déclencher l’approvisionnement. Cette méthode de gestion, qui réduit les stocks dormants à zéro, n’est pas adaptée à tous les business. Elle est réservée aux secteurs ou le client peut accepter un délai (relativement court) entre sa commande et la livraison (par exemple, dans l’automobile).
La méthode du juste à temps est à privilégier lorsque la supply chain de l’entreprise est parfaitement fiable. Il est également indispensable de s’approvisionner localement, et d’avoir des équipes flexibles. Cette gestion de stock repose sur un contrôle des détails optimal : le leitmotiv de ses créateurs était celui des 5 zéros :
Dérivée de la méthode à flux tendus, le Kanban est une méthode de gestion des stocks qui vise également à réduire les stocks au maximum. Elle applique la méthode du juste à temps en la fluidifiant, au moyen d’étiquettes (les fameux Kanban) complexes, mais faciles à mettre en place. Cette méthode assure un suivi de chaque étape de la commande jusqu’à la livraison.
La méthode Kanban est à recommander si l’entreprise travaille avec des cycles de production courts, et si le nombre d’opérations est faible ou moyen.
Autre application du flux tendus, le modèle de gestion des stocks à point de commande apporte un peu plus de flexibilité que les précédents. Il consiste à fixer un seuil d’alerte de stocks bas. Lorsque ce seuil est atteint, une commande est automatiquement déclenchée.
Le calcul précis de la quantité à commander permet une réduction des stocks dormants. Ce modèle de gestion des stocks implique une totale confiance dans sa supply chain. Il est également nécessaire de parfaitement connaître la consommation et ses fluctuations, pour un calcul précis.
Ce modèle part d’une contrainte : certaines entreprises doivent effectuer des commandes fournisseurs à intervalle fixe. A partir de ce constat, il s’agit d’évaluer exactement la quantité à commander pour arriver à une gestion de stock optimisée.
Le modèle de recomplément périodique consiste à calculer précisément la quantité à commander. Il inclut un stock de sécurité pour éviter la rupture de stock. Ce modèle se base sur plusieurs variables :
Ce modèle est donc à choisir seulement en cas de commandes fournisseurs passées à dates fixes.
Bien optimiser ses stocks commence par choisir un modèle de gestion optimal. Si le but est souvent le même (réduire les stocks au minimum pour diminuer les coûts), toutes les méthodes de gestion ont des caractéristiques qui se prêtent plus ou moins bien à chaque activité.
Le ratio de rotation des stocks est le nombre de fois où le stock total est écoulé au cours d’une année civile. La phrase » le stock de l’entreprise tourne x fois par an » suffit à démontrer un mode de gestion optimisé. Plus le ratio de rotation des stocks est proche de 1, et plus le modèle de gestion des stocks est à revoir. Au contraire, un ratio de rotation élevé témoigne d’une logistique bien huilée, et de faibles besoins en fonds de roulement (BFR). Un ratio de rotation des stocks idéal ne peut être donné à titre d’exemple, car il varie grandement selon le secteur d’activité.
Pour calculer le ratio de rotation des stocks, il faut commencer par calculer le stock moyen sur une période donnée, généralement une année civile. Il suffit d’additionnez la valeur du stock en début d’année, puis celle du stock en fin d’année, et divisez par deux.
Stock moyen = (stock de début + stock de fin) ÷ 2
Par exemple, si en début d’année, l’entreprise disposait de 80 000 euros de stock, et 140 000 euros en fin d’année, le stock moyen est de 110 000 euros :
(80 000 + 140 000) ÷ 2 = 110 000 euros de stock moyen
Il convient ensuite de diviser le chiffre d’affaires par le stock moyen pour obtenir le ratio de rotation des stocks.
Chiffre d’affaires ÷ stock moyen = taux de rotation des stocks
Par exemple, si le chiffre d’affaires de l’entreprise est de 990 000 euros sur l’année, l’opération suivante reste à réaliser :
990 000 ÷ 110 000 = 9
Le ratio de rotation des stocks est donc de 9, ce qui signifie que le stock total a été écoulé 9 fois au cours d’une année.
Le temps d’écoulement des stocks est une variable assez proche du ratio de rotation des stocks. Il consiste à calculer combien de temps, en moyenne, un produit restera en stock avant d’être écoulé. Dans tous les cas, cette variable doit être réduite au maximum pour parvenir à une gestion des stocks optimale. Mais cette variable est également à surveiller de très près dans le cas de produits périssables.
Pour calculer le temps d’écoulement des stocks, il faut diviser le stock moyen par le coût annuel des achats, puis multiplier par 365 (nombre de jours de l’année).
Temps d’écoulement des stocks = (stock moyen ÷ chiffre d’affaires) x 365
Par exemple, en reprenant les mêmes chiffres que dans l’exemple précédent :
(110 000 ÷ 990 000) x 365 = 40,5
Le temps moyen d’écoulement des stocks est donc de 40,5 jours.
Cinq raisons pour se lancer dans la distribution des courroies Optibelt au Cameroun S’il est vrai qu’une seule idée suffit pour faire une entreprise florissante,
Les courroies sont des éléments mécaniques servant à la transmission de puissance. Ce sont des boucles de matériaux flexibles utilisées pour relier mécaniquement plusieurs arbres rotatifs, le plus souvent parallèles. Les courroies peuvent être utilisées comme élément de transmission, pour transmettre efficacement la puissance ou le mouvement.
Un vérin est un appareil qui sert à créer un mouvement mécanique à partir d’un fluide sous pression.
Un séminaire de formation pour l’industrie Camerounaise Il s’est tenu le 10 Décembre dernier à Douala, un séminaire de formation technique sur les problèmes de